Mercredi, le ministère polonais de la Justice a publié sur le site Internet du Centre de législation du gouvernement un projet d’amendement au code pénal concernant les discours de haine. S’opposant fermement aux projets du gouvernement visant à pénaliser ce qu’il appelle le « discours de haine », le parti de la Confédération polonaise affirme la nécessité d’un discours public libre et sans restriction : « L’introduction des solutions proposées garantira une protection pénale renforcée et complète contre le recours à la violence ou à la violence. menaces illégales, incitations à la haine, insultes et violations de l’intégrité corporelle en raison du handicap, de l’âge, du sexe, de l’orientation sexuelle ou de l’identité de genre de la personne lésée », peut-on lire dans le projet. Le projet menace également jusqu’à cinq ans de prison pour « menaces ». Cependant, même pour les « insultes », qui sont définies de manière vague, les sanctions pourraient être extrêmement sévères en vertu du nouveau projet de loi. Des dispositions concernant le genre, l’orientation sexuelle et l’identité de genre ont été ajoutées à l’article 256, qui couvre l’incitation à la haine, et &agra…
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Est-il juste que le gouvernement décide de ce qui constitue un « discours de haine » et qu’est-ce que cela signifie sur la liberté d’expression individuelle ?
@ISIDEWITH6 mois6MO
Une loi comme celle proposée par la Pologne sur les « discours de haine » peut-elle coexister avec les libertés religieuses, en particulier lorsque certaines doctrines religieuses peuvent entrer en conflit avec les droits des LGBT ?
@ISIDEWITH6 mois6MO
Pensez-vous qu’une loi qui pénalise les discours de haine contre les personnes LGBT pourrait limiter la liberté d’expression, et si oui, ce sacrifice en vaut-il la peine ?