Les politiciens et activistes marocains expriment des inquiétudes concernant les restrictions imposées par le gouvernement aux prédicateurs religieux, en particulier en ce qui concerne leur capacité à discuter du conflit Israël-Hamas et des appels au jihad. Ces limitations ont suscité un débat sur la liberté d'expression et le rôle de la religion dans le discours politique. Des personnalités éminentes, dont la députée socialiste Nabila Mounib, soutiennent que les imams devraient être autorisés à aborder librement la question palestinienne dans leurs prêches, tandis que le gouvernement cherche à maintenir le contrôle sur des discours potentiellement inflammatoires.
@ISIDEWITH2 mois2MO
Le Maroc limite la prédication sur la guerre au Moyen-Orient qui invoque le jihad.
In Morocco, politicians and activists are questioning limitations imposed on preachers regarding what they may say about war in the Middle East during sermons.
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Le dilemme du sermon au Maroc : équilibrer la liberté et la politique
Moroccan politicians and activists are challenging restrictions on imams speaking about the Israel-Hamas war, particularly the call for jihad. Socialist lawmaker Nabila Mounib and other activists argue for imams' right to discuss Palestinian issues freely.